chronique de kamay numero 6

Les Chroniques de Kamay

Durant ma longue vie de voyager, vous pouvez imaginer que j'en ai vu des choses, des mulou Albinos, des wapins qui du a une maladie transgénique fut aussi intelligent que les plus grand génie de notre histoire et même le grand Boufrog, mais ya des choses et des rencontres bien plus étranges que cela. Laissez moi vous conter cette histoire.

Cela se passa bien après ma vie avec ma femme Elina, a cette époque, je prenais a peine conscience de mes dons et de mon pouvoir de réincarnation consciente mais là n'est pas la question. A cette époque de l'année, il fessait particulièrement froid cet hiver là (Djaul a été particulièrement inventif cette fois-ci pour prolonger son mois, un sacré coup mais laissons les grands historiens raconter cette histoire, moi je raconte la mienne )et comme vous l'avez deviner, par chez nous, lorsque la température baisse un peu trop, l'engouement des aventuriers se gèlent et l'envie de s'alcooliser augmentent, bref, a cette époque, tout le monde lampait plus qu'ils voyageaient. Moi pour ma part,je fessais comme a mon habitude, je buvais tranquillement une boisson du nom du « gnion de Brakmar », une boisson sacrément frappé, tout en m'adonnant a mon activité favorite, scruté les gens. Vous savez, scruté les gens est une activité passionnante, on en apprend plus sur certaine personne que si on leur parlait mais je m'égare là. Bref, je regardais les buveurs, les bagarreurs et les autres bras-cassé jusqu'au moment ou mon regard s'attarda sur une femme, oh pas n'importe laquelle, une femme qui fessait tache -dans le bon sens du terme- dans ce tableau disgracieux .C'était le genre de femme qu'on n'avait du mal a imaginer par ici, jeune et légèrement menu,elle portait un chapeau assez proéminent,cachant son crane , ces cheveux et une partie de son front, elle portait un manteau de couleur violet vif, en faite, elle était totalement habillée en violet de haut en bas, une vraie baie ambulante. Curieux, je finis ma choppe, me leva et m'approcha de cette inconnue jusqu'à la table auquel je tira la chaise et m'assis. La jeune femme me regarda surprise mais je ne laissa pas exprimer son désapprobation et parla

« Eh bien, c'est surprenant, que fait une jeune femme affublé d'une telle tenue et surtout seule fait bien ici ? »

Elle me regarda avec surprise puis resta silencieuse, les gens sont comme sa, il faut toujours faire le premier passionnante

« oh allez chère inconnue, parlez donc, on dirait que Djaul le grand patogeur a pris votre langue et la donner a Rushu pour qu'il en fasse une fricassé »

Elle lâcha un rire, une sorte de petit rire crystallin qui aiguilla mes oreilles, ce petit rire qui prédit une voix magnifique .

-je n'ose pas imaginer le goût que cela aurait, j'ai pas la langue très pendue »

Gagné, sa voix était belle et douce,je souris

-eh bien voilà, je me nomme Kamay, voyageur et Edrab

-Edrab ?

Je m'arrêta, il est vrai que les Edrab ne sont pas très connu étant une classe disparu et dispersé depuis des siècles


-mhh laissez tomber, c'est pas interressant sa, ce qui est interressant, c'est vous, parlez moi de vous, comment vous appelez vous ?

Elle rit :

-sa fait beaucoup de vous en une phrase cher kalay,sinon je me nomme Amélie, future architecte attitré de Amakna et aventurière aussi »

Elle sourit puis me tendit sa main, je la serra en souriant aussi,ces yeux était d'un vert émeraude et ce que on pouvait voir de sa peau d'un beau beige clair, on voyait aussi quelque mèche brune striée de rouge, bref, une vraie beauté au final, je vous avait déjà dit que j'étais chanceux a ce sujet. Par la suite, un petit silence se prolongea, elle me devisageant pour je ne sais quel raison, moi admirant ces yeux, cela sembla durer une eternité jusqu'au moment ou un homme au visage patibulaire, pas laid mais pas non plus vraiment beau -l'alcool vous savez- beugla dans la taverne :

« Baston générale !!!!!! »

En effet, alors que nous étions tout les deux en train de se présenter a l'autre, un homme assez imbibé avait demander une nouvelle boisson charger en alcool au barman, ce qu'il aurait fait avec plaisir si la nouvelle loi Amaknéenne sur l'alcool interdisant les personnes d'avoir plus de deux kamagrammes n'avait pas été appliqué dans toutes les tavernes de la nation. Le barman lui refusa donc poliment la dites boisson ce qui entraina le mécontentement de la personne et l'arrivage express d'un gnion qui au lieu d'arriver a destination, frappa le voisin qui d'ailleurs était lui aussi dans un certain état d'alcoolémie important et qui....enfin vous imaginez bien la suite et je ne souhaite pas vous faire un dessin. Bref, c'était la joie et la bonne humeur tout autour de nom, les tables volait allégrement tel des feuilles poussé par le vent et les chataignes tombait mais néammoins, elle et moi ne bougions pas de notre table, regardant simplement les palabres des nocturnes dans les tavernes. Une chopines pleine voleta dans les airs, brisant le silence entre nous deux :

«  eh bien, je ne pensais pas que c'était aussi joyeux une taverne ; dit-elle en souriant

je souris

-oh vous savez, sa c'est encore gentil mais c'est votre première fois pour vous ? 

-mhh oui mais c'était plus finaud, vous savez, les fêtes d'étudiant en architecture »

Je souris a la remarque, cette fois-ci, ce fut une table qui vola dans le ciel et un homme se crasha sur notre table , il se releva, tituba puis resta scotché sur Amélie, cela dura quelques seconde puis il se mit a beugler :

-hé les mecs, regarder, une gonz' à chapeau accompagné d'une tantouze ! »

Un silence lourd  se fit entendre puis une trentaine de pair de yeux nous regarda, personnellement je n'aime pas être scruté (un comble pour quelqu'un qui scrute les autres) alors une trentaine de pair de yeux :

« euh....Kam ?

-oui ?
-tu as pas l'impression d'être regardé

-un peu mais..... »

je n'eus pas le temps de finir, les hommes commencèrent a se rapprocher de nous...enfin plus de la jeune femme que de moi....ce qui est quand même dommage, c'est fou comme on manque d'imagination ces temps-ci.

« n'approchez pas ou je vous met la rouste de votre vie 

Les hommes se mirent a rire

-Ce gaize nous stopper, héhé sa serait drole !

-attention, il va nous faire mal avec son instrument de musique

-hé tu vas nous faire danser gamin ? »

Je resta impassible et sortit ma cytharme avant de jouer une note, un éclair frappa l'homme qui rigola laissant les autres sous état de choc.Un silence s'abattit et on entendit juste  le crépitement de la personne qui venait de frire puis comme la voix d'un seul homme :

« Sus au gamin et a la Vitch ! »

Ils sautèrent sur les deux.
Bref, Sur cette bataille, je vais passer sous trappe, les gnons, les pain, les retournement de situation, les retournement tout court , les coups fourbes et autres et allez au moment le plus interresant :

Alors que j'envoyais un autre gars au pays des songes, je regarda ce que étais devenu mon amie, ce fut une grande surprise lorsque je la vis frapper les gens avec une dexterité et une légereté dine des firefoux, mais pire encore, ces pouvoirs était quelque chose que je n'avais jamais vu auparavant, ils n'étaient d'aucune classe connu, ce qu'elle fessait, c'est qu'elle ouvrait des portail et elle les traversait pour frapper avec une rapidité et une fluidité surprenante, j'en resta subjugué...jusqu'à ce qu'un coup fila vers moi et m'envoya valser vers la table. Amélie menait pas large non plus, un homme avait réussi a la récupérer et lui fessait une clé de bras.

« allez gamin, tu vas sagement te rendre et te casser, moi,j'ai a faire avec la mignonne »

Il carressa le visage de Amélie, ce qui me fit pour des raison que ne je ne connaissais pas encore ou du moins je n'assumait pas, essayé de me libérer mais malgré mes nombreux cycles , je n'avais pas encore envisager de la muscu pure et dure et mes gesticulation ne fessait que pousser  le reste du groupe a rigoler encore plus. Désespéré, je les vit  commencer a s'approcher de la fille, je ne pouvais rien faire a part secouer mes bras....
Mais alors que tout me semblait mal baré, j'entendis un bruit sourd et plus précisément le bruit d'une balle, un homme venait de rentrer et a première vu, ce n'était pas un garde.

« bon sa suffit maintenant, vous allez laisser cette jeune femme tranquille et sortir de l'auberge

c'était un roublard, un homme encapuchonné, mais je n'eus pas le temps de le regarder plus car une nouvelle voix se fit entendre :

-tu oublie de réclamer les kamas Rémi

le roublard soupira :

-ah oui, c'est vrai, ET aboulez les kamas aussi »

les hommes regarda avec surprise  ce nouvel arrivant , ne sachant pas quoi répondre, un roublard était pire que mystérieux, autant qu'un sram, il pouvait tout faire péter ou....tout faire péter mais autrement.

Les hommes reculèrent un peu, ne sachant pas quoi  faire,crtain reculèrent , d'autre avancèrent jusqu'au moment ou celui qui tenait Amélie se mit a hurler :

« hey vous tous, on le choppe, c'est pas un roublard seul qui va nous empêcher de régler leur compte au gamin ! »

Ils se mirent tous a crier et foncèrent vers le roublard, la même voix pincé se fit entendre :

« je te les laisse, j'ai vu une sousouris pas très loin et j'ai faim a présent

Le chacha, que je venais maintenant de se montrer sauta puis disparu, tout les hommes sautèrent vers le roublard et la derniere chose qu'on vit fut un sourire .
Le reste fut du grand spectacle, les balles volèrent  vers les ennemi qui s'écroulèrent un a un,cela dura a peine trente seconde.Le roublard sourit  puis rengaina ces pistolet, l'homme qui tenait Amélie trembla, ne bougea pas, le roublard avança tranquillement puis posa sa main sur l'épaule de l'homme :

« allez soit sympa, lache là tu veux bien ? »

L'homme commença a reculer perturber jusqu'au moment ou le chacha sautillant arriva sur les deux et regarda le gars :

« et n'oublie pas de poser les kamas a l'entrée hein »

Il en fut pas plus pour qu'il parte en hurlant.
Le  roublard sourit, il devait surement être content de son effet, il s'approcha  et regarda la jeune femme :

« eh bien ma belle, je crois que je suis arrivé a temps, encore un peu et je ne veux pas imaginer ce qui te serait arriver . »

Le roublard sourit de son sourire freegland (machez du freegland pour avoir de super dent) et lui fit un baise-main :

« Remington, pour vous servir »

Amélie rougit pendant que moi je grommellé. Le dénommé Remington se retourna puis me regarda :

« et vous je suppose que vous ne souhaiterais pas de mon baisemain j'imagine  ?

-Je me nomme Kamay ,l'encapuchonné au cas ou tu voudrais savoir
Il rigola, je crois que a la longue, il voulait me ridiculiser. Le roublard sourit :

-oh mais c'est qu'il s'enerve le petit, tu va faire quoi, déterrer la hache de guerre et me faire la danse du combat

Je serra le point, essayant de me calmer puis les écouta de nouveau :

-Alors comme sa, vous êtes amis avec ce truc ?

Calme, restez calme surtout, ne pas céder a la la violence

-Nan parce que si vous voulez je vous en débarrasse , il semble tellement inutile que il me fait presque pit..... »

Un éclair, une onde jaillit et si ce foutu roublard n'avait pas esquiver, il aurait traverser la taverne, il me regarda puis se prépara en sortant ces armes :

« Ah oui tu veux vraiment jouer a sa toi ? »

Ces armes était sorti et ils me regardaient, pas lui, mais ces armes,  du moins, c'est ce que je pense , enfin bref, on se viser, nous deux, chacun avec nos armes, prêt a tirer au premier bruissement, mais malheureusement (ou heureusement qui sait ?) Amélie se mit entre nous deux un de ces portails activé :

« Stop, sa suffit Kamay, il nous as sauvé, un peu de respect (elle se tourna vers Rémi) , je vais  venir avec vous si vous allez vers Bonta Remington »

Je resta pantois mais laissa faire, après tout, c'était une femme et on ne peux pas resister au femmes. Amélie avança vers moi et me fit un petit bisou sur la joue avant de rejoindre son nouveau compagnon.
Je ne la revis plus depuis....enfin si mais là est une autre histoire que je vous raconterai peut-être un jour.

Donc voilà comment cette histoire, j'espère que cette brèves vous aura plus autant que les autres, ne vous inquieter pas, j'en ai plein d'autre et puis je suis né pour sa je crois non ?